• J'avais indiquer une adresse e-mail sur ce blog et à ma grande surprise en cliquant sur mon gif mail, ma boite mail indique une adresse supposée être la mienne qui n'est pas du tout la mienne ????????

    Par conséquent j'ai supprimé ce gif et vais essayer de faire un lien correct avec mon e-mail!!!!!!

    Désolée pour ceux qui ont essayé de me joindre par mail je n'ai jamais reçu leur mails et encore moins pu y répondre!!!!!!!!!!! Cela dois durer depuis plusieurs mois!


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  • Il me manque. J'ai besoin de me réchauffer à son sourire, son petit sourire en coin, besoin de voir ses yeux bleux pétiller.

    Il me manque, je ne veux plus y penser ça me fait trop mal, un mal insidieux qui me mine. Je devrais taire tout ça, le garder pour moi, mais voilà je suis encore tombée sur une de ses photos et c'est reparti...

    J'espère que tu es heureux my love. Je veux respecter ta vie ne pas t'imposer ma présence même par écrit, mais ça fait si mal...


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  • Notre univers est adieu.

    Nous n'avons que nos yeux,

    Pour nous dire je t'aime à jamais,

    Et que nos mains pour pleurer.

     

    Il est passé le temps heureux,de nos vingts ans.

    Ils ne reviendront plus les sourires complices d'antan.

    Les turbulences de la vie ont emporté notre insoucience.

    Il ne nous reste que la misère et l'errance.

    Notre univers est un adieu,

    Et nous n'avons que nos yeux,

    Pour nous dire je t'aime à jamais,

    Et que nos mains pour pleurer.

    Je ne sècherai pas mes larmes,

    J'ai depuis longtemps baissé les armes.

    Il n'y a que tes regards qui restent dans ma mémoire.

    Il n'y a plus d'espoir et maintenant tout est noir.

    Notre univers est un adieu,

    Et nous n'avons que nos yeux,

    Pour nous dire je t'aime à jamais,

    Et que nos mains pour pleurer.

    L'hiver tricote son manteau de froidure,

    Mais ton absence est une plus grande morsure.

    Tu flottes tel un fantôme dans les couloirs de mon âme,

    Et de ton silence mon coeur s'alarme.

    MARIE


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  • Sur une plage de cendres, les vagues d'or et de sang,

    Lèchent le sol argent en mouvements silencieux.

    Le battement de mes veines emplit mes yeux,

    Et l'ombre de la dune ondoie tout doucement.

    La lune, actrice de ce clair obscur, allume la baie,

    Et déverse cette clarté diaphane, couleur lait.

    Les songes me prennent toute éveillée,

    Et l'odeur âcre de mes tourments envahit mon nez.

    Sous l'ombre muette d'un nuage ,

    Passent des ombres préssées, serrées,

    L'une contre l'autre ne formant qu'un, sans partage.

    La clarté déchire le voile humide, découvrant un instant ceux qui se sont aimés.

    MARIE.


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  • Madrigal triste

    I

    Que m'importe que tu sois sage ?
    Sois belle ! et sois triste ! Les pleurs
    Ajoutent un charme au visage,
    Comme le fleuve au paysage ;
    L'orage rajeunit les fleurs.

    Je t'aime surtout quand la joie
    S'enfuit de ton front terrassé ;
    Quand ton coeur dans l'horreur se noie ;
    Quand sur ton présent se déploie
    Le nuage affreux du passé.

    Je t'aime quand ton grand oeil verse
    Une eau chaude comme le sang ;
    Quand, malgré ma main qui te berce,
    Ton angoisse, trop lourde, perce
    Comme un râle d'agonisant.

    J'aspire, volupté divine !
    Hymne profond, délicieux !
    Tous les sanglots de ta poitrine,
    Et crois que ton coeur s'illumine
    Des perles que versent tes yeux !

    II


    Je sais que ton coeur, qui regorge
    De vieux amours déracinés,
    Flamboie encor comme une forge,
    Et que tu couves sous ta gorge
    Un peu de l'orgueil des damnés ;

    Mais tant, ma chère, que tes rêves
    N'auront pas reflété l'Enfer,
    Et qu'en un cauchemar sans trêves,
    Songeant de poisons et de glaives,
    Eprise de poudre et de fer,

    N'ouvrant à chacun qu'avec crainte,
    Déchiffrant le malheur partout,
    Te convulsant quand l'heure tinte,
    Tu n'auras pas senti l'étreinte
    De l'irrésistible Dégoût,

    Tu ne pourras, esclave reine
    Qui ne m'aimes qu'avec effroi,
    Dans l'horreur de la nuit malsaine,
    Me dire, l'âme de cris pleine :
    " Je suis ton égale, Ô mon Roi ! "

    CHARLES BAUDELAIRE.


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